À l’aube d’Octobre Rose 2024, il est crucial pour les entreprises de s’interroger sur le rôle que peuvent jouer les assurances de personnes dans la prévention et le soutien face au cancer du sein. Le cancer du sein reste l’une des premières causes de mortalité chez les femmes en France, avec 58 000 nouveaux cas chaque année. Pour les entreprises, cela signifie un impact direct sur la santé et le bien-être des salariés, mais aussi sur la productivité et les coûts liés à l’absentéisme.

L’importance des assurances santé dans les entreprises

Les assurances de personnes, et notamment les couvertures santé, peuvent être des alliées puissantes dans la prévention et la gestion du cancer du sein. Spencer Conseil vous propose quelques pistes clés pour optimiser vos contrats d’assurance et offrir un soutien adapté à vos salariés :

  • Dépistage précoce : Les entreprises offrant une couverture santé complète permettent à leurs employés d’accéder plus facilement à des examens réguliers, comme les mammographies, qui sont essentiels pour un dépistage précoce. Ce dépistage réduit non seulement la gravité des traitements nécessaires, mais augmente aussi significativement les chances de guérison.
  • Accès aux soins de qualité : Une couverture santé adaptée garantit à chaque salarié un accès à des traitements de qualité sans devoir se soucier des coûts. Cela inclut non seulement le traitement du cancer, mais aussi les soins de suivi tels que la reconstruction mammaire, la gestion des effets secondaires et le soutien psychologique.
  • Accompagnement personnalisé : Certains contrats d’assurance offrent des services d’accompagnement dédiés pour les patients atteints de maladies graves, comme un soutien psychologique ou une assistance sociale. Ces services permettent aux entreprises de soutenir davantage leurs employés touchés.

Statistiques sur l’impact du cancer du sein en entreprise

  • 30 % des personnes atteintes d’un cancer du sein continuent de travailler pendant une partie de leur traitement, selon une étude de la Ligue contre le Cancer.
  • Les coûts de l’absentéisme liés à des maladies graves comme le cancer représentent environ 5 % de la masse salariale annuelle dans les grandes entreprises françaises.
  • 70 % des salariés affirment qu’ils choisiraient de rester dans une entreprise qui offre de meilleures prestations de santé et de bien-être.

Optimiser les coûts d’assurance pour offrir une meilleure couverture

Face à ces chiffres, Spencer Conseil vous accompagne dans la révision et l’optimisation de vos contrats d’assurance de personnes. Voici quelques pistes pour offrir une meilleure couverture tout en maîtrisant les coûts :

  1. Analyse des besoins des salariés : Adapter la couverture santé en fonction des besoins spécifiques de l’entreprise et de ses employés permet de mieux allouer les ressources et d’éviter les sur-couvertures inutiles.
  2. Négociation des contrats : En mettant en concurrence les prestataires d’assurances, il est possible de bénéficier de meilleures conditions tarifaires, tout en augmentant les niveaux de couverture santé pour des soins spécifiques comme ceux liés au cancer du sein.
  3. Sensibilisation et prévention : En mettant en place des campagnes de sensibilisation au sein de l’entreprise (comme la participation à Octobre Rose), les employeurs peuvent encourager les dépistages précoces, réduisant ainsi à long terme les coûts liés aux soins intensifs.

Conclusion :

Le cancer du sein ne touche pas seulement les individus, il affecte aussi les entreprises. En optimisant vos contrats d’assurance de personnes et en mettant l’accent sur la prévention, Spencer Conseil vous aide à offrir à vos salariés un soutien vital, tout en améliorant la productivité et la rétention des talents. À l’occasion d’Octobre Rose 2024, il est temps de revoir vos contrats d’assurance santé pour mieux protéger ceux qui en ont le plus besoin.

Contactez Spencer Conseil pour en savoir plus sur les solutions d’optimisation des assurances santé en entreprise.

 

 

 

 

En septembre 2024, l’Europe centrale a été frappée par des inondations dévastatrices causées par la tempête Boris. Des pays comme l’Autriche, la Pologne, la République tchèque, et la Roumanie ont vu des milliers de personnes évacuées, avec des dégâts matériels considérables. Les premières estimations situent les pertes économiques entre 1,6 et 2,34 milliards d’euros,). Cependant, grâce à des investissements massifs dans les infrastructures de protection et la gestion proactive des risques, les pertes assurées ont été significativement réduites.

Cet événement souligne la nécessité pour les grandes entreprises d’adopter des stratégies d’optimisation des assurances, notamment sur le segment des assurances IARD (Incendie, Accidents et Risques Divers). Alors que le risque climatique devient de plus en plus pressant, il est essentiel d’intégrer des analyses de risques spécifiques dans les contrats d’assurance afin de garantir une couverture adéquate tout en maîtrisant les coûts.

 

L’impact des infrastructures de prévention sur la réduction des pertes

Les inondations de septembre 2024 ont mis en lumière les progrès réalisés dans la gestion des risques naturels en Europe centrale. Contrairement aux inondations catastrophiques des années 1997 et 2010, les pertes en 2024 ont été atténuées grâce à des infrastructures modernisées et des mesures préventives comme la gestion prédictive des réservoirs et le renforcement des digues​.

Par exemple, en République tchèque, les barrages le long de la rivière Vltava ont été vidés à l’avance pour faire face à l’augmentation des eaux, ce qui a permis de protéger les grandes villes comme Prague. En Autriche et en Pologne, des infrastructures renforcées ont également permis de minimiser les dégâts dans les zones urbaines​. Ces mesures montrent que la prévention, associée à une couverture d’assurance optimisée, peut réduire significativement les pertes pour les entreprises et les assureurs.

 

L’évolution des primes d’assurance IARD dans les zones à risque

L’impact croissant des catastrophes naturelles, comme les inondations de 2024, entraîne une augmentation des primes d’assurance, notamment dans les zones à risque élevé. Les assureurs ajustent leurs tarifs en fonction de la fréquence accrue des événements climatiques extrêmes. Les entreprises doivent donc anticiper ces hausses en révisant régulièrement leurs contrats d’assurance et en optimisant leurs couvertures​.

Les investissements dans des infrastructures de prévention permettent également de négocier des primes plus avantageuses. Par exemple, les entreprises qui mettent en place des plans de gestion des risques, tels que des systèmes d’alerte précoce et des mesures de résilience, peuvent être considérées comme moins risquées par les assureurs, ce qui se traduit par une réduction des coûts​.

Stratégies pour les ETI et grands groupes face à l’augmentation des risques climatiques

Face à l’augmentation des événements climatiques extrêmes, il est impératif que les ETI et les grands groupes adoptent des stratégies proactives pour mieux gérer leurs risques et optimiser leurs assurances. Voici quelques stratégies clés :

  1. Révision régulière des contrats d’assurance : Il est essentiel d’évaluer régulièrement les garanties et exclusions pour s’assurer que les couvertures répondent aux risques actuels sans inclure de garanties obsolètes.
  2. Négociation des franchises : Les entreprises peuvent envisager d’augmenter certaines franchises, réduisant ainsi leurs primes d’assurance tout en gardant une couverture adéquate.
  3. Investissement dans des infrastructures de prévention : Mettre en place des mesures de résilience, comme des systèmes de gestion des eaux, non seulement réduit les risques, mais permet également de négocier des conditions plus avantageuses auprès des assureurs.
  4. Appel d’offres régulier auprès des assureurs : La mise en concurrence des assureurs permet d’obtenir les meilleures conditions et de profiter des évolutions du marché en matière de couverture IARD.

Conclusion

Les inondations de 2024 en Europe centrale rappellent que les catastrophes naturelles sont une réalité avec laquelle les entreprises doivent composer. L’intégration proactive d’une stratégie d’optimisation des assurances est cruciale pour maîtriser les coûts et garantir une couverture adéquate. En collaborant avec des experts techniques, les entreprises peuvent s’assurer qu’elles sont prêtes à faire face à ces défis tout en optimisant leurs contrats d’assurance.

Chez Spencer Conseil, nous accompagnons les ETI et grands groupes dans l’analyse de leurs contrats IARD et l’élaboration de stratégies d’optimisation adaptées à leurs besoins spécifiques.

Contactez-nous pour en savoir plus sur nos services et découvrir comment nous pouvons vous aider à protéger vos actifs face aux risques climatiques.

Alors que les primes d’assurance pour la protection des professionnels avaient connu une nette amélioration en 2002, la crise sanitaire de Covid 19 est venue renverser la situation. En 2021, on observe un gel du montant des primes pour de nombreuses filières professionnelles. Une mesure qui aura un impact indéniable sur les entreprises, les PME et même les travailleurs indépendants. En plus de la chute de leur chiffre d’affaires, de nombreuses entreprises font désormais face à une flambée des primes d’assurance, couronnée par une réduction des garanties.

« En 2021, on observe un gel du montant des primes pour de nombreuses filières professionnelles. »

On observe une hausse généralisée des primes

Le changement des termes de contrat est certain. Les compagnies d’assurance pratiquent des coûts plus élevés et les entreprises doivent s’y résoudre. Tous les secteurs d’activité sont affectés par cette augmentation. Les primes ont connu une augmentation de l’ordre de 5 à 30 % en janvier 2021, pour les mêmes garanties. Le gouvernement a par ailleurs mis en place un accord de couverture pour la protection des secteurs les plus touchés par la crise. Il s’agit de la restauration, du sport, de la culture, du tourisme ainsi que l’évènementiel tourisme. La mesure couvrira principalement les entreprises qui ont moins de 250 salariés.

Même si cette nouvelle a été très mal accueillie par les assureurs qui ont alors dénoncé un chantage de la part des autorités, elle permettra aux entreprises concernées de mieux se relever en cette situation de crise. À côté de l’augmentation des primes, certaines entreprises se voient lésées par leurs assureurs qui ont décidé de supprimer la garantie épidémie.

Les entreprises perdent la garantie épidémie

En janvier 2021, nombreuses sont les entreprises qui ont dû renouveler leurs contrats d’assurance. Dans la plupart des cas, on observe des changements des termes et la suppression de certaines garanties. On a notamment observé la suppression de la garantie épidémie, la garantie en cas de fermeture administrative liée à la pandémie, etc. Désormais, les assureurs ne couvrent plus les PME en cas de perte d’exploitation sans dommage. En cas de grève et autre manifestation par exemple, certains assureurs ne couvriront pas les pertes engrangées.

Par ailleurs, quelques compagnies d’assurance continuent de couvrir ce risque, mais pour cela, la prime à verser sera de 50 % environ. Une situation qui va fortement impacter la situation économique des entreprises.

De nombreuses pertes d’exploitation enregistrées

L’explosion des primes d’assurance a entrainé des changements sur le marché économique. La couverture connait un recul, tandis que les primes de garantie exploitation augmentent. Ceci dit, pour les cas d’incident au travail, incendie, inondation, l’entreprise devra payer jusqu’à 30 % en plus.

Les entrepreneurs doivent désormais payer le prix fort pour bénéficier d’une couverture complète. Mais une grosse contrainte se pose au niveau des budgets qui ne permettent pas de dépenses excessives. Les dirigeants pourraient ainsi opter pour une réduction de leurs garanties afin de maintenir le coût de leur assurance. Ce qui en soi est une décision à haut risque, car en cas de sinistre, les pertes et les dégâts seront entièrement à la charge de l’entreprise.